La nouvelle gare TransRUN du Val-de-Ruz offre l'occasion aux partenaires publics et privés intéressés d'œuvrer à un premier partenariat privé-public de portée régionale. C'est peut-être même inéluctable.
Une société de construction et d'exploitation de la nouvelle gare ferroviaire du Val-de-Ruz devrait se constituer sans attendre pour regrouper les intéressés et les compétences requises dans une structure à même de porter un tel projet.
Aussitôt que le Grand Conseil a décidé de construire le TransRUN, la société peut se constituer, travailler à la conception de la nouvelle gare TransRUN du Val-de-Ruz et lever des fonds.
vendredi 12 octobre 2007
jeudi 4 octobre 2007
Où en sont les structures d'accueil des petits enfants du Val-de-Ruz?
Le Grand Conseil et le peuple ont accepté en 2001 une loi encourageant la création de places d'accueil extra-familial pour les enfants; de leur naissance jusqu'au terme de leur scolarité obligatoire.
La politique régionale cantonale assigne au Val-de-Ruz une fonction résidentielle qui rend ces places d'accueil indispensables. Les parents travaillent la plupart du temps à La Chaux-de-Fonds ou à Neuchâtel, voire plus loin; alors que les enfants doivent suivre l'école dans leur village.
Est-ce une question de développement social et économique à laquelle répondra le contrat-région du Val-de-Ruz? Les familles attendent impatiemment une réponse concrète.
La politique régionale cantonale assigne au Val-de-Ruz une fonction résidentielle qui rend ces places d'accueil indispensables. Les parents travaillent la plupart du temps à La Chaux-de-Fonds ou à Neuchâtel, voire plus loin; alors que les enfants doivent suivre l'école dans leur village.
Est-ce une question de développement social et économique à laquelle répondra le contrat-région du Val-de-Ruz? Les familles attendent impatiemment une réponse concrète.
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vendredi 28 septembre 2007
Le développement économique du Val-de-Ruz est menacé; pourquoi les autorités et les partis politiques ne se font-ils pas entendre?
La cheffe du Département fédéral de l'économie propose que le Val-de-Ruz ne fasse pas partie des zones économiques en redéploiement bénéficiaires des allégements fiscaux. Ces zones remplaceront les régions LIM à partir du 1er janvier 2008. Le haut du canton et le Val-de-Travers feraient partie de ces zones, mais plus le Val-de-Ruz.
La politique régionale cantonale attribue au Val-de-Ruz une fonction résidentielle, elle détourne les investissements industriels sur les pôles de développement de La Chaux-de-Fonds – Le Locle et du littoral neuchâtelois.
Ni la Confédération, ni le Canton ne considèrent comme prioritaire de favoriser les investissements industriels au Val-de-Ruz. Est-ce que les autorités et les partis politiques du Val-de-Ruz adhèrent à cette vision? Qui se taît consent!
La politique régionale cantonale attribue au Val-de-Ruz une fonction résidentielle, elle détourne les investissements industriels sur les pôles de développement de La Chaux-de-Fonds – Le Locle et du littoral neuchâtelois.
Ni la Confédération, ni le Canton ne considèrent comme prioritaire de favoriser les investissements industriels au Val-de-Ruz. Est-ce que les autorités et les partis politiques du Val-de-Ruz adhèrent à cette vision? Qui se taît consent!
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jeudi 13 septembre 2007
Derrière-Pertuis – c'est aux conseils généraux de résilier la convention relative à l'école pour stopper le gâchis actuel
En décembre dernier, les conseils communaux de Cernier, de Chézard-St-Martin, de Dombresson et du Pâquier se sont accordés aussi bien sur la nécessité de résilier la convention relative à l'école intercommunale de Derrière-Pertuis que sur la manière de proposer à leurs conseils généraux respectifs de les suivre. Résilier la convention ne signifiait pas nécessairement la fermeture de l'école; mais ça aurait permis de confier l'analyse de la question et les décisions à prendre aux bonnes instances. Ni les quatre conseils généraux, ni la commission scolaire de Derrière-Pertuis, ni les parents des élèves concernés n'étaient à même de trancher avec le recul nécessaire.
Trois conseils généraux sur quatre ont refusé de suivre leur conseil communal. Résultat: une confusion lamentable, une triste division de la population et certainement des frustrations qui dureront une ou deux générations.
Les législatifs de Cernier, de Chézard-St-Martin et du Pâquier portent une lourde responsabilité dans le gâchis actuel. Le mal est fait et ce sont d'autres instances qui devront panser les plaies. Il ne reste plus à ces trois conseils généraux que de résilier la convention relative à l'école, même trop tard; ne serait-ce que pour mettre fin à une commission scolaire fantoche de Derrière-Pertuis.
Trois conseils généraux sur quatre ont refusé de suivre leur conseil communal. Résultat: une confusion lamentable, une triste division de la population et certainement des frustrations qui dureront une ou deux générations.
Les législatifs de Cernier, de Chézard-St-Martin et du Pâquier portent une lourde responsabilité dans le gâchis actuel. Le mal est fait et ce sont d'autres instances qui devront panser les plaies. Il ne reste plus à ces trois conseils généraux que de résilier la convention relative à l'école, même trop tard; ne serait-ce que pour mettre fin à une commission scolaire fantoche de Derrière-Pertuis.
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jeudi 6 septembre 2007
Les partis politiques du Val-de-Ruz offrent un tremplin électoral au nouveau venu PDC
En laissant un conseiller communal PDC représenter seul le Val-de-Ruz à l'occasion de la négociation du contrat-région, les conseillers communaux des autres partis ont fait preuve d'une absence totale de sens politique.
Au seuil de trois années électorales, alors que tous les partis peinent à recruter des candidats qui font des voix; les conseillers communaux libéraux, radicaux et socialistes n'ont pas cherché à empêcher leur collègue et néanmoins candidat PDC au National de s'avancer pour cette négociation.
Heureusement pour le Val-de-Ruz, le négociateur-candidat est une personnalité de valeur. L'habile manœuvre ne manquera pas de profiter au PDC. Les autres partis décompteront le résultat de leur tranquille assurance au soir des prochaines élections.
Au seuil de trois années électorales, alors que tous les partis peinent à recruter des candidats qui font des voix; les conseillers communaux libéraux, radicaux et socialistes n'ont pas cherché à empêcher leur collègue et néanmoins candidat PDC au National de s'avancer pour cette négociation.
Heureusement pour le Val-de-Ruz, le négociateur-candidat est une personnalité de valeur. L'habile manœuvre ne manquera pas de profiter au PDC. Les autres partis décompteront le résultat de leur tranquille assurance au soir des prochaines élections.
jeudi 30 août 2007
Un conseil régional de la fusion des communes élu par le peuple
La convention de fusion des communes du Val-de-Ruz est une sorte de constitution régionale, comme il existe des constitutions cantonales et une constitution fédérale. Les démocraties élisent une constituante quand la constitution doit être écrite ou réécrite. C'est ce que devrait faire le Val-de-Ruz.
Les conseillers généraux et les conseillers communaux ont été élus pour défendre les intérêts de leur commune. Ils ne peuvent pas l'entraîner dans une fusion qui nécessite immanquablement des sacrifices à court terme, même s'ils sont plus que compensés par les avantages à long terme. Les structures régionales manquent de légitimité et elles ont démontré leur incapacité d'initier un processus de restructuration politique.
Seul un conseil régional de la fusion des communes élu par le peuple jouirait à la fois du mandat approprié, de la légitimité requise et de la bonne perspective pour élaborer une convention de fusion des communes du Val-de-Ruz. Comme une constitution, la convention de fusion devra, le moment venu, être votée par le peuple.
Les conseillers généraux et les conseillers communaux ont été élus pour défendre les intérêts de leur commune. Ils ne peuvent pas l'entraîner dans une fusion qui nécessite immanquablement des sacrifices à court terme, même s'ils sont plus que compensés par les avantages à long terme. Les structures régionales manquent de légitimité et elles ont démontré leur incapacité d'initier un processus de restructuration politique.
Seul un conseil régional de la fusion des communes élu par le peuple jouirait à la fois du mandat approprié, de la légitimité requise et de la bonne perspective pour élaborer une convention de fusion des communes du Val-de-Ruz. Comme une constitution, la convention de fusion devra, le moment venu, être votée par le peuple.
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vendredi 24 août 2007
Evologia S.A., un pôle de développement efficace?
Transformée en société anonyme, dotée d'un patrimoine immobilier, mais aussi de statuts, d'une assemblée générale d'actionnaires, d'un conseil d'administration et d'un organe de révision, Evologia réunirait tous les attributs requis pour devenir la structure juridique indépendante d'animation et de coordination du développement régional du Val-de-Ruz et du secteur primaire cantonal. C'est ce qu'a proposé en 2004 le Conseil d'Etat sans succès au Grand Conseil. Ne vaudrait-il pas la peine d'en reparler?
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vendredi 17 août 2007
Evologia, un enfant pas désiré
De prébende radicale et agricole, Evologia en est devenue une socialiste, écologiste et artistique. Au lieu d'être le dernier bastion d'une agriculture surprotégée et de l'entretien de la nostalgie du bon vieux temps à la campagne, Evologia est devenue un instrument de la mainmise des villes sur les campagnes et de l'économie globale sur l'artisanat. Alors que les communes du Val-de-Ruz sont tenues sous le joug de l'état cantonal dans tant de domaines, le service de l'Etat Evologia en fait à sa guise, sans aucun représentant de la région dans sa commission stratégique, avec un accès direct au chef de son département de tutelle, voire au Conseil d'Etat. Faut-il encore s'étonner que ni le Val-de-Ruz, ni ce qui reste de paysannerie ne s'approprie l'Evologia actuelle?
jeudi 16 août 2007
Un partenariat privilégié entre La Chaux-de-Fonds et Le Val-de-Ruz
Il n'est pas très important de s'arrêter aux préférences de la population du Val-de-Ruz, quant à son choix entre La Chaux-de-Fonds ou Neuchâtel. S'agissant de travailler, d'aller à l'école, de faire ses courses, de faire du sport ou d'aller au théâtre, il est un fait que la population neuchâteloise pendule tous les jours massivement entre le haut et le bas, indépendamment de toute préférence pour le haut ou pour le bas.
Il est en revanche très important de prendre des mesures permettant de réduire les coûts de fonctionnement des services publics, comme il est aussi très important que les deux pôles urbains du cantons restent deux acteurs de force équivalente.
Permettre à La Chaux-de-Fonds de se renforcer en fournissant les services publics de l'essentiel du territoire et de la population du Val-de-Ruz est une façon économique de contrer la propension qu'ont les investissements à se situer davantage dans le bas du canton de Neuchâtel que dans le haut. En d'autres termes, il est plus facile à Neuchâtel de polariser le littoral neuchâtelois qu'à la Chaux-de-Fonds de polariser un haut du canton qui bute sur une frontière nationale, dont l'est est déjà en voie de captation par Bâle et dont l'ouest, excepté Le Locle, n'est formé que d'une chaîne de montagnes. L'ensemble des infrastructures du Val-de-Ruz et de La Chaux-de-Fonds sur lesquelles s'appuie leur développement social et économique seraient fournies avec un meilleur rapport coût/bénéfice si elles étaient gérées en commun. C'est aussi une mesure intéressante pour sortir de la crise financière qui plombe l'ensemble des services publiques, la fiscalité et finalement la politique du canton de Neuchâtel.
Il est en revanche très important de prendre des mesures permettant de réduire les coûts de fonctionnement des services publics, comme il est aussi très important que les deux pôles urbains du cantons restent deux acteurs de force équivalente.
Permettre à La Chaux-de-Fonds de se renforcer en fournissant les services publics de l'essentiel du territoire et de la population du Val-de-Ruz est une façon économique de contrer la propension qu'ont les investissements à se situer davantage dans le bas du canton de Neuchâtel que dans le haut. En d'autres termes, il est plus facile à Neuchâtel de polariser le littoral neuchâtelois qu'à la Chaux-de-Fonds de polariser un haut du canton qui bute sur une frontière nationale, dont l'est est déjà en voie de captation par Bâle et dont l'ouest, excepté Le Locle, n'est formé que d'une chaîne de montagnes. L'ensemble des infrastructures du Val-de-Ruz et de La Chaux-de-Fonds sur lesquelles s'appuie leur développement social et économique seraient fournies avec un meilleur rapport coût/bénéfice si elles étaient gérées en commun. C'est aussi une mesure intéressante pour sortir de la crise financière qui plombe l'ensemble des services publiques, la fiscalité et finalement la politique du canton de Neuchâtel.
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vendredi 10 août 2007
Organisation régionale inefficace
Abstraction faite de certaines communes et d'Evologia, aucun projet de développement significatif n'a jamais été réalisé grâce aux organismes régionaux existants. En particulier, Espace Val-de-Ruz et Région Val-de-Ruz n'ont joué de rôle déterminant dans aucun projet de développement. Alors que ces deux associations ont été crées pour porter le développement régional, elle ont fait preuve d'une incapacité totale d'initiative (leur regroupement ou celui des communes), d'anticipation (NPR, TRANSRUN ou aménagement du territoire) ou de médiation (Z.I. de Coffrane et des Geneveys-sur-Coffrane, regroupement du Pâquier, de Villiers et de Dombresson, école de Derrière-Pertuis). Alors que la mise en place de la nouvelle politique régionale bat son plein (RUN, contrat-région), la première n'a pas encore inscrit la question à son ordre du jour et la seconde s'avère incapable d'être un partenaire à la hauteur.
Ce constat sans appel ne tient pas tant aux personnes en place qu'aux manques de légitimité, de moyens financiers, de ressources humaines et de culture politique dont souffrent ces organismes.
Ce constat sans appel ne tient pas tant aux personnes en place qu'aux manques de légitimité, de moyens financiers, de ressources humaines et de culture politique dont souffrent ces organismes.
jeudi 9 août 2007
Districts et associations régionales de trop
Lors de la première journée citoyenne RUN qui s'est tenue le 19 février 2004 à Neuchâtel, Max Frenkel a magistralement rappelé que les sociétés industrielles et urbaines, comme la nôtre, n'arrivent pas à organiser leur pouvoir politique autrement qu'à trois niveaux, en Suisse les communes, les cantons et la Confédération. Il a attiré l'attention sur la non-faisabilité d'un système faisant appel à un niveau supplémentaire, en l'occurrence la région, comme le prévoit depuis le début la NPR neuchâteloise, mais aussi depuis plus longtemps la LIM.
La disparition des préfectures et les districts qui ne sont plus que des circonscriptions électorales ou judiciaires démontrent la pertinence de l'analyse de Max Frenkel. Pourquoi alors avoir créé des associations régionales, même deux pour le seul Val-de-Ruz?
mercredi 8 août 2007
Structures régionales trop nombreuses au Val-de-Ruz
Seize communes, une demie-douzaine de syndicats intercommunaux, une association régionale LIM, une association régionale de promotion sociale et économique (Espace Val-de-Ruz), un groupe de négociation d'un contrat-région, un pôle de développement (Evologia) et une association de soutien de ce dernier (Pro Evologia). Bref, la multiplication des structures formelles ou informelles s'occupant de développement au Val-de-Ruz est spectaculaire. Elle engendre des chevauchements, voire des conflits d'intérêts, elle empêche d'atteindre dans chaque structure un niveau de compétence et des moyens financiers suffisants et, surtout, elle ne permet pas de prendre les décisions qui s'imposent.
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vendredi 3 août 2007
Abandonner au Val-de-Ruz les communes politiques
Abandonner au Val-de-Ruz les communes politiques au profit d'un contrat-région: les communes de Savagnier, de Fenin-Villars-Saules, de Valangin et de Montmollin fusionnent avec Neuchâtel. Toutes les autres communes du Val-de-Ruz sont rattachées à La Chaux-de-Fonds.
Le contrat-région du Val-de-Ruz définit les conditions des fusions précitées et les plans de développement des communes touchées pour les vingt-cinq prochaines années. Il lie toutes les communes du Val-de-Ruz, La Chaux-de-Fonds, Neuchâtel et le Canton. Après vingt-cinq ans il devient caduque.
Motif: même avec 15'000 ou 20'000 âmes, le Val-de-Ruz n'aura jamais plus d'identité propre, il est condamné à n'être plus qu'une banlieue de Neuchâtel et de La Chaux-de-Fonds. Cette situation entre deux villes est spécifique et rend critique le maintien de toute commune de petite taille. La situation du Val-de-Ruz est à cet égard très différente de celle du Val-de-Travers.
Même associée au Locle, La Chaux-de-Fonds est confrontée à des coûts de services publiques trop élevés à cause de tailles généralement subcritiques. L'intégration des services du Val-de-Ruz est la bonne formule pour réaliser des économies de fonctionnement dont la nécessité n'est aujourd'hui plus contestée. Neuchâtel peut réaliser le même exercice avec les communes du littoral neuchâtelois.Constituer un RUN formé de deux villes contiguës, mais qui restent politiquement distinctes; parce-qu'elles représentent deux sociétés, deux cultures et deux terroirs complètement différenciés, est, vu de Berne, une réalité beaucoup plus compréhensible qu'avec un Val-de-Ruz situé entre-deux, les séparant géographiquement et politiquement.
Le contrat-région du Val-de-Ruz définit les conditions des fusions précitées et les plans de développement des communes touchées pour les vingt-cinq prochaines années. Il lie toutes les communes du Val-de-Ruz, La Chaux-de-Fonds, Neuchâtel et le Canton. Après vingt-cinq ans il devient caduque.
Motif: même avec 15'000 ou 20'000 âmes, le Val-de-Ruz n'aura jamais plus d'identité propre, il est condamné à n'être plus qu'une banlieue de Neuchâtel et de La Chaux-de-Fonds. Cette situation entre deux villes est spécifique et rend critique le maintien de toute commune de petite taille. La situation du Val-de-Ruz est à cet égard très différente de celle du Val-de-Travers.
Même associée au Locle, La Chaux-de-Fonds est confrontée à des coûts de services publiques trop élevés à cause de tailles généralement subcritiques. L'intégration des services du Val-de-Ruz est la bonne formule pour réaliser des économies de fonctionnement dont la nécessité n'est aujourd'hui plus contestée. Neuchâtel peut réaliser le même exercice avec les communes du littoral neuchâtelois.Constituer un RUN formé de deux villes contiguës, mais qui restent politiquement distinctes; parce-qu'elles représentent deux sociétés, deux cultures et deux terroirs complètement différenciés, est, vu de Berne, une réalité beaucoup plus compréhensible qu'avec un Val-de-Ruz situé entre-deux, les séparant géographiquement et politiquement.
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mercredi 1 août 2007
Un moratoire à la négociation du contrat-région
Un moratoire devrait être imposé aux négociations actuelles qui touchent des contrats-régions impliquant La Chaux-de-Fonds, Neuchâtel et le Val-de-Ruz, le temps de définir les nouvelles options politiques et les nouveaux objectifs stratégiques auxquels ces négociations doivent conduire. La charrue a été mise devant les bœufs.
Les intérêts et les spécificités du Val-de-Ruz, mais aussi celles de l'ensemble du canton de Neuchâtel et de ses villes, seront mieux préservés si les communes du Val-de-Ruz et La Chaux-de-Fonds opèrent un rapprochement, voire une fusion. Les raisons fondamentales qui devraient inciter la Confédération à intégrer l'Union européenne sont aussi valables pour que le Val-de-Ruz intègre le RUN. Le contrat-région du Val-de-Ruz est l'instrument par excellence de la fusion des communes et de la mise en place d'un pôle de développement efficace, mais démocratique.
Les intérêts et les spécificités du Val-de-Ruz, mais aussi celles de l'ensemble du canton de Neuchâtel et de ses villes, seront mieux préservés si les communes du Val-de-Ruz et La Chaux-de-Fonds opèrent un rapprochement, voire une fusion. Les raisons fondamentales qui devraient inciter la Confédération à intégrer l'Union européenne sont aussi valables pour que le Val-de-Ruz intègre le RUN. Le contrat-région du Val-de-Ruz est l'instrument par excellence de la fusion des communes et de la mise en place d'un pôle de développement efficace, mais démocratique.
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mardi 31 juillet 2007
Le Val-de-Ruz, maillon manquant du RUN
Le Val-de-Ruz est le maillon manquant du RUN: alors que le Conseil d'Etat peine à convaincre la Berne fédérale que le canton de Neuchâtel est urbain (le projet d'ordonnance fédérale sur la politique régionale identifie cinq villes répondant aux critères d'agglomérations urbaines: Bâle, Berne, Genève, Lausanne et Zurich, et, sept cantons urbains: AG, BL, BS, GE, SO, ZG et ZH), le Val-de-Ruz, en se refermant sur lui-même, risque de manquer l'occasion historique de jouer le rôle de jonction entre La Chaux-de-Fonds et Neuchâtel ou de clef de voûte du RUN.
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Le consensus mou du Val-de-Ruz
Le consensus mou conduit à l'absence de légitimité: syndicats intercommunaux, associations régionales, pôle de développement ou contrat-région, les personnes qui oeuvrent dans ces organismes manquent totalement de la légitimité nécessaire pour traiter des questions dont elles s'occupent. Ni les autorités élues, ni la population ne sait ou n'a conscience, par exemple, qu'une personne seule (son nom, son mandat?) est en train de négocier avec le Conseil d'Etat le contrat-région du Val-de-Ruz, au nom de toutes les communes et de toute la population du Val-de-Ruz. Mais sont-elles seulement intéressées? Quelle est la légitimité d'un tel contrat?
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Les infrastructures échappent au Val-de-Ruz
Les infrastructures qui comptent pour le développement du Val-de-Ruz lui échappent: en seize communes ou en une seule, le Val-de-Ruz n'est pas en mesure de faire front aux intérêts politiques et économiques supérieurs qui influencent son développement. Organisation politique et judiciaire, police, aménagement du territoire, gestion des eaux, approvisionnement énergétique, transports et communication, santé et services sociaux, écoles et formation, sports, loisirs et culture; le Val-de-Ruz subit dans tous ces domaines des décisions qui se prennent ailleurs.
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lundi 30 juillet 2007
Le Val-de-Ruz sera toujours trop petit
Le Val-de-Ruz sera toujours trop petit pour contrôler son développement: même regroupés en une commune unique, les 15'000 habitants du Val-de-Ruz ne réuniront ni les moyens financiers, ni les compétences pour devenir un partenaire à la hauteur des enjeux posés par le développement régional. Est-ce que l'association Région Val-de-Ruz ou le pôle de développement Evologia, fédérant les acteurs sociaux, économiques, institutionnels, privés ou publics impliqués, est à même de permettre au Val-de-Ruz de prendre son destin en main? – Rien n'est moins sûr!
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